Aux Etats-Unis, Jammie Thomas est la première personne ayant préférée aller jusqu'au procès que lui intentaient les maisons de disques plutôt que de conclure un accord. Et c'est bien dommage pour elle.
En effet, le tribunal l'a condamné à verser 220 000 $ à la RIAA (Recording Industry Association of America) comme dommages et intérêts. Soit 9250 $ pour chacun des 24 morceaux téléchargés et partagés illégalement. L'accusation s'étant concentré sur 24 morceaux seulement plutôt que sur les 1702 morceaux du départ. Il va sans dire que si le jugement avait porté sur ces 1702 morceaux, ils auraient fallu à l'accusation prouvé que chacun avait été téléchargé et partagé illegalement, et surtout que les dommages auraient pu atteindre des millions de dollars.
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