Devant l'épaisseur du premier sujet, il est bon vu votre capacité à remplir ce sujet
d'en créer un nouveau.
Je crois que ce sera moins lourd à suivre. Bonnes discussions ( Cool comme d'hab')
Ask to Old Man a écrit: Bonnes discussions ( Cool comme d'hab')
DouDou9455 a écrit:Landreau, Flamini, A. Diarra, Cissé, Mexès, Ben Arfa et Escudé, les 7 joueurs viré par domenech, je ne commenterais pas juste : RIDICULE !
Pheno a écrit:DouDou9455 a écrit:Landreau, Flamini, A. Diarra, Cissé, Mexès, Ben Arfa et Escudé, les 7 joueurs viré par domenech, je ne commenterais pas juste : RIDICULE !
je suis d'accord seulement avec 4 de ces joueurs : Diarra, Cissé, Mexès et Escudé.
pour les autres c'est dommage je trouve.
Vianney85 a écrit:Mexes... Mouais, y'a pas mal de bons défenseurs déjà présents
Neptunes a écrit:
Mais bon moi j'aurais viré Govou de toue façon donc bon
Mickaël LANDREAU:
Le coup de tonnerre !
C'est l'énorme sensation de cette liste. Alors qu'il n'avait cessé de marteler que la hiérarchie des gardiens chez les Bleus était clairement établie, au point qu'on l'avait cru gravée dans le marbre ou presque (à tort), Raymond Domenech a évincé le gardien du PSG, pourtant réputé jusqu'à ces dernières heures la doublure de Grégory Coupet devant le n°3, Sébastien Frey. En l'espace de quelques heures et avec la nomination de Charles Villeneuve à la présidence du PSG, qui a signifié son désir de recruter un grand gardien, Landreau, vice-champion du monde en 2006, a perdu beaucoup. Force est de croire que l'ancien Nantais a fini par être rattrapé par sa difficile saison dans la capitale où son trou noir et ses bévues à répétition au coeur de l'hiver, en club comme avec les Bleus, face à l'Ecosse et le Maroc, auront sans doute plus pesé que Domenech n'a bien voulu le dire à l'époque. Alors qu'il n'était pas titulaire en finale de la Coupe de France, le portier parisien aurait dû être aligné mardi face à l'Equateur. Frey en première période, puis Mandanda en seconde: le sélectionneur avait sans doute déjà tranché...
Djibril CISSE:
La passe de trois !
Après 2004 et son éviction sur suspension puis 2006 et son forfait sur blessure en match de préparation, Djibril Cissé doit donc tirer un trait sur sa troisième compétition internationale de rang. A 26 ans, c'est un nouveau coup rude dans la carrière tourmentée du Marseillais. Terrassé face à la Chine par une nouvelle fracture tibia-péroné à la veille du départ des Bleus pour l'Allemagne en 2006, l'ancien Auxerrois a une fois encore été victime de la dernière ligne droite. Et si cette fois le physique a tenu, Cissé a vu un phénomène lui souffler la politesse. Son nom ? Bafetimbi Gomis, qui en le remplaçant à la pause et en inscrivant les deux buts de la victoire en une période face à l'Equateur mardi (2-0) a chamboulé la réflexion de Domenech. La mine renfrognée de l'Olympien sur le banc des Bleus alors que son concurrent réussissait son entrée tonitruante dans la carrière internationale valait déjà bien des discours...
Hatem BEN ARFA:
Nasri gagne le duel
A moins de voir Domenech jouer un énième contrepied en ne sélectionnant que trois attaquants, il apparaissait peu probable de voir le sélectionneur partir pour l'Autriche et la Suisse avec ses deux créateurs, Samir Nasri et Hatem Ben Arfa. Le patron des Bleus a tranché en faveur du Marseillais dont le profil de meneur de jeu a sans doute prévalu quand l'inconstance du Lyonnais, encore étalée mardi face à l'Equateur, persistait. Mais tandis qu'Eric Gerets, l'entraîneur de Nasri, invité à réagir sur le site de l'OM, estime que ce dernier "a prouvé sur la fin du championnat que c'était un tout grand joueur", Alain Perrin, lui, en ayant tenu Ben Arfa écarté de la fin de saison lyonnaise, porte sans doute une grande responsabilité dans la non-sélection du jeune joueur. Mais à 21 ans, l'avenir lui appartient...
Julien ESCUDE:
Rattrapé par la blessure
C'est le seul cas sur lequel Domenech aura accepté mercredi, en conférence de presse, de lever le voile sur les raisons de sa mise à l'écart. Le sélectionneur a ainsi expliqué que Julien Escudé, le défenseur du FC Séville, avait été écarté de sa sélection sur blessure, évoquant "un petit souci" au sujet du joueur. "Ce n'était pas jouable", a-t-il souligné. Force donc est de croire que la première période disputée par Escudé mardi face à l'Equateur (2-0) n'a pas constitué un test concluant concernant la pubalgie qui aura handicapé le joueur toute cette saison.
Philippe Mexès ne sait plus quoi faire pour convaincre Domenech. (Le Parisien) Philippe Mexès ne sait plus quoi faire pour convaincre Domenech. (Le Parisien)
Philippe MEXES:
Encore raté...
Philippe Mexès doit finir par se demander ce qu'il doit réaliser pour avoir droit d'exister en équipe de France. Ecarté de l'Euro 2004 par Jacques Santini et déjà par Raymond Domenech en 2006, le successeur désigné de Lilian Thuram chez les Bleus, à 26 ans, voit une nouvelle fois le train bleu partir sans lui. Devenu un titulaire indiscutable sous le maillot de la Roma, à la lutte avec l'Inter Milan pour le titre jusqu'à l'ultime journée de la Serie A, Mexès aura été jusqu'à inscrire le but, superbe, de la victoire des Gallorossi en finale de la Coupe d'Italie face aux Intéristes le week-end dernier (1-0) pour tenter d'infléchir la position d'un Domenech toujours mal disposé à son encontre. En pure perte. Quant à sa blessure à un genou, elle ne serait pas entrée en ligne de compte selon le sélectionneur. Aux côtés des tauliers du poste, Thuram et Gallas, ce sont Squillaci et Boumsong qui verront l'Euro. Mexès, lui, n'est pas invité.
Mathieu FLAMINI:
Le plus logique
Des sept exclus de Tignes, le cas du néo-Milanais est sans conteste celui qui prête le moins sujet à discussion. Dans un secteur de jeu aussi concurrentiel que le milieu de terrain, le dernier arrivé n'avait quasiment aucune chance de bousculer la hiérarchie. A 24 ans, l'ancien Gunner a l'avenir devant lui et aura sans doute été l'un des moins touchés par la décision attendue du sélectionneur. A Milan, on l'attend d'ailleurs déjà à l'image de Massimo Ambrosini s'exprimant dans les colonnes de La Gazetta dello Sport: "Ca me surprend mais il est jeune et il a encore l'avenir devant lui. Ce n'est pas plus mal pour Milan, il pourra mieux se préparer."
Alou DIARRA:
Le Mondial 2006 sans lendemain
Vice-champion du monde en 2006, entré en jeu en finale face à l'Italie, Alou Diarra estimait à l'issue de la campagne des Bleus en Allemagne avoir gagné ses galons de membre du groupe France. Il s'était trompé. En dépit de son excellente saison avec les Girondins de Bordeaux, le milieu défensif, derrière les indéboulonnables Vieira, Makelele et Toulalan, n'a pas su renverser la tendance. A coup sûr, la polyvalence de son homonyme, Lassana Diarra, capable d'évoluer au poste de latéral droit, aura été un argument de choix à l'heure d'écarter son nom.
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